14 août 2020 door Meike van de Beek
L’accord sur le climat que tous les États membres de l’Union européenne ont souscrit précise les objectifs que la Belgique doit atteindre à l’horizon 2030 et 2050. La transition énergétique y joue un rôle prépondérant. Il est évident que nous devons apporter des changements essentiels à notre manière de produire et de consommer l’énergie. Dans cet article, nous mettons en évidence les objectifs à réaliser par la Belgique et expliquons comment notre pays entend les atteindre.
Les objectifs concrets dans le domaine énergétique:

- Selon l’UE, nous devons réduire d’ici 2050 les émissions de gaz à effet de serre liés à l’énergie de 85 % par rapport à 1990 ;
- Une part de 40 à 60 % de sources d’énergie renouvelables est nécessaire à cet effet (elle était de 10 % en 2009) ;
- L’objectif pour tous les pays de l’UE consiste à réduire d’ici 2030 les gaz à effet de serre de 40 % et à porter la part de l’énergie renouvelable à 27 %. La feuille de route belge « Vers une Belgique bas carbone à l’horizon 2050 » vise une réduction de 80 à 95 % des gaz à effet de serre, ce qui équivaut à une part d’énergie renouvelable de 65 à 80 % (le nucléaire est ramené progressivement à zéro) ;
- L’électrification de la demande totale d’énergie est appelée à s’intensifier (donc également chauffage électrique au lieu du chauffage au gaz, véhicules électriques au lieu de carburants à énergie fossile).
Quelles mesures la Belgique prend-elle pour atteindre ces objectifs ?
Le gouvernement belge a mis différentes mesures en œuvre pour réaliser effectivement les objectifs de l’UE. Par exemple :
- Arrêt de l’installation de nouvelles chaudières au mazout à compter de 2021 (dorénavant seule l’installation de solutions de chauffage durables est autorisée) ;
- Investissement non seulement dans l’électricité verte, mais aussi dans la chaleur verte et la capacité du réseau ;
- La chaleur et le froid pour le secteur industriel et les bâtiments représentent 40 % de la consommation énergétique. En Flandre, 60% des bâtiments sont situés à proximité d’une source de chaleur résiduelle qui peut être utilisée de manière rentable via un réseau de chaleur ;
- Inventaire du potentiel de chaleur résiduelle dans le Port d’Anvers : offre ~1000 MW, demande de chaleur 2500 MW / 5000 GWh
- Politique locale en matière de climat au moyen de la Convention des Maires (outil en ligne visant à soutenir la mesure de référence du CO2 et les plans d’action locaux en matière de climat pour toutes les communes flamandes) ;
- Accent mis sur des solutions pour le transport et l’environnement bâti ;
- Importance des initiatives ascendantes (dites « bottom-up ») et de la participation citoyenne ;
- Autres mesures d’incitation de la part du gouvernement ;
- Placer l’utilisateur final au cœur des préoccupations en proposant de nouvelles possibilités pour une utilisation intelligente de l’énergie (économies d’énergie, prosommation, participation à des projets énergétiques collectifs) ;
- Pas d’approche « one size fits all » pour les utilisateurs finaux, mais différents rôles possibles ;
- Innovation via la géothermie profonde.
Concernant la rénovation de bâtiments existants, le gouvernement mène une politique à deux volets :
- Rénovation de base : mesures dites sans regret (suppression progressive du vitrage simple et des toitures non isolées, installation de chaudières gaz à condensation), non seulement pour des raisons énergétiques, mais aussi pour davantage de confort ;
- Rénovation profonde sur le plan financier : concepts intégrés (isolation, énergie renouvelable notamment via des réseaux de chaleur) en cours de développement.

Nous sommes sur la bonne voie avec l’énergie renouvelable
Ce sont principalement l’énergie éolienne, la bioénergie et l’énergie solaire qui progressent résolument en Belgique. Lorsqu’il s’agit du câblage d’éoliennes, DYKA n’hésite pas à apporter sa contribution. Avec nos tuyaux et gaines en PE de qualité supérieure, nous protégeons les câbles de 380 V. En outre, nous proposons également des systèmes de conduites pour un montage dans le pied des éoliennes.
Ces projets jouent un rôle certain. En effet, la part de l’électricité produite de façon durable avait déjà augmenté en 2018 en Belgique pour atteindre 25,6 % du total :
- énergie éolienne 10,4 %
- biomasse, biogaz et déchets 8,4 %
- énergie solaire 5 %
- hydroélectricité pompée : 1,4 %
- hydroélectricité 0,4 %
Par conséquent, nous sommes sur la bonne voie, mais il est important de continuer à mettre tout en œuvre pour obtenir des résultats encore plus satisfaisants.

Assortiment de tubes en PE

Projet transition énergétique: HKZ Maasvlakte

Ik ben marketeer bij DYKA. Binnen mijn functie vind ik het leuk om mij te verdiepen in thema’s rondom klimaatverandering. Onze klanten in verschillende landen informeren over de gevolgen van klimaatverandering en tegelijkertijd meedenken in oplossingen is iedere dag een leuke uitdaging.